Ebook gratuit Le Silence des livres, by George Steiner
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Le Silence des livres, by George Steiner
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Détails sur le produit
Broché: 70 pages
Editeur : Arléa (16 février 2006)
Collection : L'Etrangère
Langue : Français
ISBN-10: 2869597207
ISBN-13: 978-2869597204
Dimensions du produit:
12,5 x 0,7 x 20,5 cm
Moyenne des commentaires client :
4.4 étoiles sur 5
5 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
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George Steiner s'intéresse ici au caractère éminemment fragile de l'écrit, et en particulier du livre.Et c'est à une histoire du livre depuis les tout premiers écrits qu'il nous convie, succédant à la tradition de la transmission orale et de la mémoire.Il insiste également sur le caractère particulier du livre, qui recèle moins d'universalité que la musique ou la danse, par exemple, rappelant que la majeure partie de l'humanité n'en lit pas.Il nous rappelle aussi que ni Socrate, ni Jésus, qui jouent pourtant un rôle si important dans notre héritage intellectuel et éthique, n'ont manié l'écrit. La transmission s'est, là encore, d'abord faite par l'oralité, usant en particulier de l'allégorie et la parabole, avant de passer sous la forme écrite.Le caractère normatif et prescriptif est évoqué par Steiner, qui en montre les différentes implications.Le passage à l'écrit exerce, en outre, des effets pervers au regard de l'ancienne tradition orale, favorisant paradoxalement l'oubli, notamment.Le mythe, le "par coeur", la tradition, disparaissent peu à peu pour laisser place à une culture de l'éphémère, voire de la paresse.Si le livre fut réservé à une élite éduquée, atteignant très tôt des sommets de sophistication stylistique, il fut aussi jugé subversif, en particulier par les ascètes, avant que l'apparition de l'imprimerie et des grandes bibliothèques royales et académiques n'en confortent l'usage, qui reste cependant réservé longtemps à une poignée d'hommes avant de se diffuser.Encore que le silence des livres a laissé place, à l'époque contemporaine, à un monde où ce dernier est devenu un luxe, devenu presque suspect.Et c'est là qu'intervient la contestation.George Steiner en présente les deux grands courants : celui du "pastoralisme radical", opposant l'érudition livresque à la "vie en actes", étant accusé de parasiter la conscience immédiate, et celui de certains nihilistes et révolutionnaires anarchistes, niant leur quelconque bienfait à l'humanité souffrante, pour qui "une paire de bottes vaut mille fois plus que la collection des oeuvres complètes de Shakespeare ou de Pouchkine" (Pisarev).Contestation qui culmine avec la destruction par le feu des livres et bibliothèques, triste tradition amorcée par les "poètes futuristes et léninistes", qui visent à éradiquer le poids du passé, et dont se sont inspiré par la suite à la fois les Nazis, puis les fondamentalistes de tous bords, préfigurant ce que l'on ferait ensuite aux hommes.Les autres menaces s'appellent, selon George Steiner, la censure, "aussi vieille et omniprésente que l'écriture elle-même", et n'étant hélas pas réservée uniquement aux Etats totalitaires, comme y insiste l'auteur, le moindre des paradoxes étant que de grandes oeuvres sont parfois sorties du contexte de la censure même la plus dure.La difficulté, selon l'auteur, est que dans certains cas (pornographie, négationnisme, idéologies haineuses, voire appels au meurtre), surtout à l'ère actuelle du numérique, le fonctionnement habituel de la conscience peut s'en trouver perturbé et la question de la censure amenée à se poser de manière non évidente.Nous vivons aussi à une époque où coexistent à la fois un véritable foisonnement de l'écrit, réduisant la place des formats traditionnels et posant le problème du stockage d'une telle multitude, diluant par ailleurs la réflexion dans un océan d'écrans qui, finalement, ont pour effet de rendre obsolète la lecture traditionnelle.Jusqu'à arriver au "scandale du livre", où l'imaginaire et la fiction sont accusés de faire prendre au grand lecteur la place du réel et faire perdre le sens des réalités ou de sentiments tels que l'empathie ou la compassion, le rendant handicapé au regard du "principe de réalité" (Freud), la lecture devenant véritable facteur de déshumanisation.Accusations auxquelles Michel Crépu ajoute, comme en écho, dans un petit texte additionnel intitulé "Ce vice encore impuni", véritable hommage rendu au silence des livres, à l'amour voué à ces derniers, les considérations articulées autour de l'idée de culpabilité de l'instant si convoité, ou comment ce sentiment peut naître de la réaction d'incompréhension des autres, aujourd'hui plus qu'avant, où celui qui lit est apparenté trop facilement à une sorte d'égoïste qui se replie dans son monde, coupable de s'isoler et de rompre le contact avec les autres, mesurant ainsi l'écart qui s'est accru entre l'univers d'"A la recherche du temps perdu" et l'hostilité contemporaine à la méditation et au "repli sur soi", pourtant propice à la réflexion et la créativité.Un court recueil intéressant, expression évocatrice de la vulnérabilité du livre et de l'intolérance à laquelle il a toujours été confronté, "contenant en germe l'éventualité d'une fin".
La culture est un privilège. La littérature, la philosophie, la musique, les arts sont la matière même de la vie écrit Steiner. Or, dans le monde moderne, la barbarie, l'avidité, la consommation de masse, la pléthore de nouveaux titres chaque année, sont autant de menaces qui pèsent sur le livre, sur les librairies de qualité. C'est un des messages que contient ce petit livre de Steiner (50 pages) suivi d'un texte (17 pages) de Michel Crépu : "Ce vice encore impuni". Ce vice, c'est la lecture vous l'aurez compris. Pour le prix, ces deux textes sont à recommander, à lire et à relire.
Je termine à l'instant la lecture de ce précieux livre. L'analyse est brillante et précise, elle nous renvoie aux vrais valeurs de la lecture et de la vie : "L'expérience de la solitude, du regard posé à la fenêtre sur les toits, l'expérience de cette si étrange et douce tristesse qui est au fond de tous les livres comme une lumière d'ombre, cette expérience capitale en quoi consiste tout bonnement l'initiation au monde et à la finitude, cette expérience est comme empêchée, voire interdite. Et là , sûrement, suis-je obligé de parler de "haine" " Il faut offrir ce livre c'est un magnifique cadeau pour les amoureux des livres mais aussi pour les parents qui comprendront la nécessaire solitude constructive réclamée par leurs enfants.
Ce petit livre reprend un article de George Steiner écrit pour la revue Esprit en 2005. Facile à lire, il pose les rapports entre le développement de la civilisation et le livre, c'est à dire l'accès à la culture. Chez l'auteur, ce rapport est devenu presque une obsession, dans le sens où cela reste un point très douloureux de constater que ce sont les pays à forte culture écrite qui ont également développé les pires idéologies humaines. L'itinéraire personnel de l'auteur fait que cela indique tout particulièrement l'Allemagne. Pour ma part, je ne sais s'il faut vraiment y voir une relation de cause à effet, les intellectuels allemands ayant été plus les victimes que les initiateurs d'un feu qui a ravagé l'Europe.Par ailleurs, ce petit livre offre de beaux paragraphes au lecteur sur la puissance de l'imaginaire humain, lequel fait que nous serons toujours plus sensibles aux héros de papier qu'aux drames qui nous entourent. C'est une constance de la condition humaine que d'identifier des "types" de personnages dont les caractéristiques ne seront que répétés dans les aléas de la vie. Il est donc logique que l'on se réfère au "type", voire au "mythe" plutôt qu'aux copies, aussi charnelles et proches soit-elles.Enfin, l'auteur insiste pour que soit protégé cet univers intérieur qui se développe avec la lecture, univers favorisé par le silence de la lecture et un rapport au temps qui a considérablement changé ces dernières années. La modification de ce rapport est sans doute germe d'une barbarie intime bien plus violente que celle qui s'exprime par les armes.Le texte de George Steiner est suivi d'un court texte de Michel Crépu sur la même thématique.
Une présentation de l'histoire du livre à travers les époques et les lieux et au cours de laquelle on touche la fragilité du livre. A une époque où l'on s'interroge sur la pérénité du livre comme objet avec les tablettes numériques, on prend conscience que cette fragilité est née avec le livre. George Steiner nous présente également les liens moins glorieux entre le livre et l'histoire, à travers le nazisme ou la censure.Une lecture instructive qui nécessite néanmoins d'être à sa lecture : le texte n'est pas si simple (ou bien n'étais-je pas dans un bon jour).
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